L'assaut définitif

Contre les Fatwa du Qardawiyy

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il a permis de manger la viande qui n'est pas égorgée !  
 

 

Parmi ces fatwa infondées avec lesquelles il a dupé certains fanatiques de sa cause mais par lesquelles il a aussi égaré beaucoup de personnes parmi les musulmans dans les pays arabes, européens et américains, il y a la question de la viande, puisqu'il a dit dans son livre appelé "le licite et l'illicite dans l'Islam" en page 63 de la dixième édition en langue arabe de 1976 qu'il était permis de manger du poulet dont le cou a été tordu par un chrétien, c'est-à-dire du poulet étranglé. Il a dit au sujet des viandes importées de chez les gens du Livre, comme les poulets et les viandes bovines congelées qui peuvent avoir été tués par décharge électrique et ce qui est semblable : (tant qu'ils les considèrent licite, cela est licite pour nous). Il n'y a aucun doute que dans ses paroles il y a un reniement du texte explicite du Qour'an dans lequel figure l'interdiction claire, comme Sa parole ta^ala 'ayah 5 sourat Al-Ma'idah qui signifie : "Vous sont interdits l'animal mort autrement que par l'égorgement, le sang et la chaire de porc".

Al-Qardawiyy a passé outre. Il a même dit dans le texte de conclusion des deuxièmes rencontres de ce qui est appelé le conseil européen des fatwas et des recherches à Dublin en Irlande, sous sa propre présidence, textuellement (de l'arabe) : (le conseil a autorisé la consommation des nourritures contenant des faibles quantités de substances interdites comme la chaire de porc et sa graisse). Dans le même texte figure, que Allah nous en préserve, textuellement (de l'arabe)  : (tout comme il a autorisé la vente de l'alcool et de la chaire de porc dans les commerces appartenant à des musulmans). Que répliquer à ces fatwas qui rendent licites des choses interdites par Unanimité et connues d'évidence dans la religion comme étant interdites ? Aucun musulman ne peut les accepter.

Par ailleurs, Mouslim et d'autres ont rapporté de Jabir Ibnou ^Abdi l-Lah qu'il a entendu le Messager de Allah r dire, l'année de la conquête de La Mecque, alors qu'il s'y trouvait ce qui signifie : "Certes Allah et Son Messager ont interdit la vente de l'alcool, de l'animal mort sans être égorgé, le porc et les statues". On a dit alors : Ô Messager de Allah, vois-tu les graisses des animaux morts ? On en badigeonne les navires et on enduit les peaux avec, on l'utilise aussi pour l'éclairage des lampes à huile, quel est le jugement ? Il a dit ce qui signifie : "Non, ceci est interdit". La hawla wa la qouwwata 'il-la bi l-Lah.

 
 
 

 

Ci-après un ensemble des égarements de cet imposteur, par lesquels il a contredit le Qour'an, la Sounnah et le ijma^ – l'unanimité – de la communauté. Ce n'est qu'une faible part de l'ensemble de ses contradictions qui ont rempli ses livres de corruption.
Il a permis de manger la viande qui n'est pas égorgée !
Il autorise de payer la zakat aux non-ayant-droit !
Son appelation de Allah par des noms que Allah n'a pas donné pour Lui-même.
Il manque de respect envers les prophètes.
Son appel à delaisser l'apprentissage de la religion.
Son éloge des leaders de l'extrémisme et du terrorisme.
Les conditions du ijtihad.
Son accusation de chirk – d'être associateur – envers celui qui visite les tombes des vertueux.
Son assimilation de Allah à Ses créatures.
Son interdiction de tout acte d'adoration innové après le Messager de Allah.
Son interdiction de porter des 'ayah du qour'an pour la barakah.